vendredi 6 août 2010

Jamel Aït Ben Idir, la bonne pioche du recrutement


Avant d'affronter Sochaux, Jamel Aït Ben Idir s'est confié sur le site Internet du club acarles.fr. Transfuge du Havre où il a passé toute sa carrière, il a impressionné tout au long de la préparation au point d'être devenu un homme de base pour Michel Estevan.



On entre dans la dernière droite avant le championnat, où en est-on ?

La préparation se passe bien, on bosse beaucoup. C’est positif. Je suis agréablement surpris de mes nouveaux coéquipiers. Nous sommes nombreux à être nouveau. Mais rien ne change à l’ACA. Il y a un très bon état d’esprit. Le groupe vit bien. Tout se passe bien. A travers le travail, on soude encore plus les liens.

Nous sommes seulement à quelques heures de la première journée, comment se passent les derniers entraînements ?

On se met dans une configuration de compétition. Il faut mettre l’esprit, la rigueur tout au long de ces séances. Mentalement, il faut être dedans. On oublie les résultats des matchs amicaux, c’est du passé. Il faut s’atteler à travailler au présent. Ce match de Sochaux est tout autre. A nous de bien l’aborder.

L’ACA débute par un déplacement à Sochaux, que penses-tu de cette équipe ?

Sochaux, c’est un adversaire direct pour le maintien. Maintenant il s’agit du premier match, c’est important de bien débuter. A nous de mettre en place ce que le coach nous demande. Il faut être une équipe « chiante » à jouer.

A-t-on endossé le costume du petit poucet ?

On ne pose pas autant de questions. Il faut se concentrer sur nous, nos qualités. Et il faut garder l’état d’esprit qui fait la force de ce club : « suer, travailler ensemble, être solidaire »

Es-tu impatient d’être au coup d’envoi de cette rencontre ?

Je ne suis pas impatient, j’ai simplement hâte. On joue au football pour être compétiteur et gagner des matchs pour donner des sensations au public.

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